Quelqu’un qui me connaît aux États-Unis, (ou si je suis honnête, ma mère) sait que j’ai un amour malsain pour le sel. Les œufs ? Salés. Le poulet ? Salé. N’importe quel légume auquel vous pouvez penser ? Salé. Quelque chose qui a déjà du sel ? Salé. Parfois je saupoudre même du sel sur mes cookies et si vous pensez que c’est mauvais je vous défie d’essayer au moins une fois. En fin de compte, j’aime le sel, j’aime des produits alimentaires salés et pour une raison inconnue, j’ai décidé de venir en France.
Les Français ne salent pas. PAS DU TOUT.
Enfin, c’est un peu un mensonge. Ma mère d’accueil, bénie soit-elle, met toujours du sel et du poivre sur la table et sa cuisine n’est jamais fade. Mais le reste d’entre vous ! Tout le monde a ses petits travers ! Vous vivez cependant sans sel ! Même si je reconnais que cette attitude peut seulement profiter à ma santé cardiovasculaire à long terme, je n’arrêterai pas de m’en plaindre.
Comme je suis dans ce pays, je devrais essayer de m’adapter. C’est une occasion d’essayer de nouveaux produits alimentaires et de réduire ma dépendance au sel. De nouvelles expériences sont nécessaires pendant mes voyages en France. Si le sel est le plus grand problème que j’ai cette année, ma vie va être très bien et joyeuse, et ce n’est pas un problème.
Rachel Partington