A Paris, j’habite dans le premier arrondissement, près du grand centre commercial du Forum des Halles à Châtelet. Autour du centre, il y a plusieurs cafés et bars qui sont toujours remplis de clients. En arrivant dans le quartier, j’ai remarqué le nombre de marques et de magasins américains—Vans, Nike, GAP, H&M, etc. Il est évident qu’il y a une influence de la culture américaine dans certains quartiers de Paris. L’ironie, c’est qu’il y a aussi une forte présence de la culture et des marques françaises dans les quartiers les plus riches de New York.
Quelles que soient les différences spécifiques entre Paris et New York, je me suis rendu compte qu’il est facile de faire la comparaison entre les deux métropoles. Je ne viens pas de New York, mais j’y ai passé l’été dernier grâce au travail. Les deux grandes villes sont toujours éclairées et actives, un aspect étudié pour attirer les touristes. Comme dans les rues de New York, à Paris, nous pouvons entendre de nombreuses langues dans la foule des habitants. Les vendeurs sont qualifiés aussi, et parlent plusieurs langues pour profiter des touristes et communiquer avec les gens qui ne parlent pas français.
Une chose que j’ai remarquée différente de New York, c’est l’ambiance dans les cafés. Malgré le mauvais temps de l’hiver, les habitants de Paris sont contents de s’asseoir dehors sur les terrasses chauffées avec du café ou du vin. A mon avis, la culture de la cigarette est la raison pour laquelle les Français s’assoient dehors tous les jours, même s’il pleut. Néanmoins, les Français dont je parle semblent attendre vivement le beau temps du printemps. Un jour, je buvais du vin au café et j’ai demandé au serveur de me recommander des endroits touristiques à Paris ; il m’a répondu « Il faut juste marcher. Suivez le soleil !»